La Porte du Dragon
Bien le bonjour mes chers amis avides de culture. Aujourd’hui, on va se faire plaisir avec un petit article, du genre qui se boit à l’heure où l’on lit le thé. Nous allons parler de la légende de la Porte du Dragon.
Il est en Chine une cascade quelque part sur le fleuve jaune (où exactement je ne sais pas, je ne suis pas cartographe fluvial) assez grande, dont on dit que l’eau s’abat plus vite qu’une flèche tirée par un bon archer (vous imaginez donc le cubage d’eau que vous prenez sur la mouille). En cet endroit se réunissent maintes carpes qui tentent de franchir cette cascade. En effet, si la carpe est vigoureuse, elle n’en est pas moins un poisson miteux, ce qui nuit assez à sa street crédibilité.
« -Mais Prof, allez-vous me demander, en quoi franchir une cascade va changer leur crédibilité de tanche ?
-Ce sont des carpes, pas des tanches.
-Tais-toi vilaine. Je voulais utiliser le terme « tantouze » mais Niedman m’a tapé en disant que ça stigmatisait sa communauté.
-Ah… »
Bon, reprenons. La légende veut que toute carpe franchissant cette cascade devienne un dragon. Et là c’est la classe ! Car souvenez-vous, dans l’article sur le dragon oriental, nous vous instruisions du fait que le dragon représentait l’Empereur lui-même. Cette légende est donc la symbolique de la montée sur l’échelle sociale. J’entends par là qu’où une carpe remonte la Porte du Dragon, un paysan arrive à des hauts postes dans la société.
Là où il y a le sel (autant dans le sens d’intérêt que dans celui du sel de vos larmes), c’est que toutes les carpes ne franchissent pas la cascade. C’est même extrêmement rare ! Pourquoi ? Eh bien c’est très simple : 1) elles se prennent des bastos de flotte ; 2) elles se font pêcher de toutes les façons possibles par les pêcheurs ; 3) elles se font bouffer par des oiseaux de proies et autres ours.
Il est en Chine une cascade quelque part sur le fleuve jaune (où exactement je ne sais pas, je ne suis pas cartographe fluvial) assez grande, dont on dit que l’eau s’abat plus vite qu’une flèche tirée par un bon archer (vous imaginez donc le cubage d’eau que vous prenez sur la mouille). En cet endroit se réunissent maintes carpes qui tentent de franchir cette cascade. En effet, si la carpe est vigoureuse, elle n’en est pas moins un poisson miteux, ce qui nuit assez à sa street crédibilité.
« -Mais Prof, allez-vous me demander, en quoi franchir une cascade va changer leur crédibilité de tanche ?
-Ce sont des carpes, pas des tanches.
-Tais-toi vilaine. Je voulais utiliser le terme « tantouze » mais Niedman m’a tapé en disant que ça stigmatisait sa communauté.
-Ah… »
Bon, reprenons. La légende veut que toute carpe franchissant cette cascade devienne un dragon. Et là c’est la classe ! Car souvenez-vous, dans l’article sur le dragon oriental, nous vous instruisions du fait que le dragon représentait l’Empereur lui-même. Cette légende est donc la symbolique de la montée sur l’échelle sociale. J’entends par là qu’où une carpe remonte la Porte du Dragon, un paysan arrive à des hauts postes dans la société.
Là où il y a le sel (autant dans le sens d’intérêt que dans celui du sel de vos larmes), c’est que toutes les carpes ne franchissent pas la cascade. C’est même extrêmement rare ! Pourquoi ? Eh bien c’est très simple : 1) elles se prennent des bastos de flotte ; 2) elles se font pêcher de toutes les façons possibles par les pêcheurs ; 3) elles se font bouffer par des oiseaux de proies et autres ours.

Bref, je m’arrête ici après cette digression trop longue. Mais je vous pose quand même une question (je récupère les copies attention !) : selon vous, vaut-il mieux vivre toute sa vie comme une carpe et avoir une vie heureuse ou tenter de devenir un dragon au risque de se faire avoir au vol ? Je vous laisse donc (définitivement cette fois) alors à la prochaine !
/Le Prof
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